* L'État-providence français avec son État social semble définir la France, sauf qu'en réalité il n'en décrit qu'une partie de plus en plus restreinte et qui profite surtout aux immigrés, quand les Français natifs subissent une véritable discrimination, spoliés de leurs droits sociaux, et victimes d'exactions spoliatives fiscales avec de lourdes conséquences.
* Les impôts sont taillés pour frapper principalement les Français natifs, l'impôt sur le revenu n'est payé que par moins de la moitié des foyers fiscaux, la taxe foncière n'est pas payée par les logements sociaux, du coup la proportion des logements qui y sont soumis tombe à 30 à 40%, et du fait de la prépondérance des immigrés, ceux-ci en sont dispensés de fait, d'autant plus injuste que les demandeurs répondant aux conditions d'obtention sans avoir accès aux HLM, ont la double peine d'être spoliés de leur droit social d'accès au logement, et de devoir payer en plus la taxe foncière. Par ailleurs, la taxe d'habitation, qui est réservée aux résidences secondaires, va toucher les Français natifs obligés d'acheter une 2°résidence, faute d'avoir un logement de superficie suffisante en ville, à proximité du travail, ou simplement parce que l'insécurité interdit de laisser les enfants sortir en ville, ou parce qu'ils auront hérité d'une maison familiale, alors que les immigrés préféreront acheter dans leur pays d'origine. Les frais de mutation, frais d'huissier, sont élevés en France, se rajoutent au coût du logement, jusqu'à l'impôt sur l'héritage, qui là aussi est le plus élevé au monde, alors que les bénéficiaires des HLM en sont totalement dispensés, bien qu'ils deviennent transmissibles.
* Les Français bénéficient au minimum des aides sociales, les logements sociaux sont accaparés par les immigrés. Si au Danemark, les immigrés ne peuvent occuper plus de 30% des HLM, rien de pareil en France, et l'interdiction de statistiques raciales permet de dissimuler la discrimination à l'encontre des Français natifs; Arrivés en France, avec plusieurs enfants, les immigrés obtiennent un maximum d'aides, avec logements, et s'installent dans l'assistanat à vie, sans être contraints, ou au moins incités à se prendre en charge.
* Face à la longueur des études, aux problèmes de logements, au manque de crèches, à l’absence d'allocations familiales pour le 1ᵉʳ enfant, au chômage, à la SMICardisation, fonder une famille devient une course d'obstacles pratiquement infranchissables, alors que tout est fait pour faciliter l'avortement, si celui-ci à été inscrit dans la Constitution, les gouvernants ont oublié que le mot d'ordre initial était 'le droit de choisir', et ce droit fondamental, d'avorter ou d'avoir des enfants, devrait être inscrit dans la pratique, si ce n'est dans la Constitution.
* Pour les Français natifs, le problème est la discordance entre l'importance des impôts et prélèvements divers, qui relève de l'exaction spoliatrice, et la faiblesse des aides sociales qui sont calculées juste pour éviter une insurrection. En plus des taxes et impôts, chassés des villes par le prix du logement, se rajoute le coût du transport, avec le jardin de la villa, qui se transforme en parking, une accumulation de frais divers s’ajoutent au cumul des impôts et taxes, et des aides sociales réduites à un minimum très décevant. Au final, la question se pose de savoir l'intérêt de travailler, pour un bénéfice minimal, une qualité de vie limitée par une insécurité généralisée, une éducation dévalorisée, des lieux de vie dégradés, une société disloquée. Le principal motif de travailler pour beaucoup de Français, c'est simplement parce que l'État leur met un couteau sur la gorge, et ils n'ont d'autre choix que d'étudier, pour avoir un travail, ne pouvant obtenir qu'un minimum d'aide sociale, et entre les dépenses contraintes et les revenus, s'établie un équilibre sur le fil du rasoir, permettant à peine de vivre, sans pouvoir se projeter dans l'avenir, avec le risque d'effondrement en cas d'accident de vie, de burn-out, ou autre, l'État-providence ne permet que d'éviter le désespoir, et laisser croire que le citoyen peut encore construire sa vie, alors qu'il ne peut maintenir un niveau de vie minimum qu'en retardant ou sacrifiant la possibilité d'avoir des enfants, en se repliant sur un égoïsme consumériste. Pour les Français natifs, l'État-providence se contente d'éviter un passage à la révolte, en laissant croire que tout est la faute des citoyens, que l'État fait ce qu'il peut, mais qu'il ne peut pas tout, alors même qu'il fait le pire.
* La laïcité a été dévoyée, remplacée par une christianophobie, qui ouvre la voie à une islamisation. L'État subventionne la construction de mosquées, mais n'entretient pas les églises, avant de passer à leur destruction, près de 50 incendies/tentatives d'églises enregistrés en 2024, contre 38 en 2023, avec une tendance à l'augmentation régulière, des centaines à un millier d’actes (vols, dégradations, incendies, profanations) sont signalés sur des églises ou lieux de culte chrétiens, sur l'année, agression lors des processions chrétiennes, mais par ailleurs la loi de 1905 permet de faire la chasse aux symboles chrétiens sur la voie publique (croix ou statue), d'interdire les crèches, symbole d'amour familial et de joie ; l'association chrétienne Civitas a été interdite de manière totalement arbitraire. L'espace du christianisme est repoussé, tend à être réduit à la seule sphère privée, les spécificités chrétiennes sont condamnées sans hésitation, alors même que les pratiques musulmanes sont tolérées, même comme le voile, élément de contrôle communautaire, comparé au port d'une simple croix, strictement personnel, mais l'Aïd est fêté dans les mairies, ou à la télé, et si l'islam avait des pratiques comparables, comme les crèches, sans doute seraient-elles autorisées pour permettre à l'islam de s'afficher à chaque coin de rue . Le blasphème à l'encontre du christianisme a été institutionnalisé lors de la cérémonie d'ouverture des JO. Les écoles chrétiennes se retrouvent obligées d'accepter des musulmans, ce qui est une aberration, et porte atteinte à l'enseignement chrétien.
* Oui, la France est un cauchemar, les Français natifs ont perdu leur passé, leur histoire n'est plus apprise à l'école, on leur explique que ce n'est que crimes avec la colonisation, l'esclavage… On déboulonne les statues, on condamne les pratiques religieuses, les langues régionales sont étouffées, mais aussi tout le passé familial est détruit par les impôts sur l'héritage, et sur l'immobilier, qui poussent à perdre la maison familiale, à casser la transmission familiale. Mais les Français ont perdu aussi le présent, avec des impôts et des prélèvements. Au niveau sportif, les musulmans imposent la prière sur le terrain de foot, avec une opposition communautariste, aggravée par une insécurité; aux Jeux olympiques, ou même pour Miss France, on voit des minoritaires qui excluent les Français natifs, pour une représentation idéologique. Mais les Français ont aussi perdu leur avenir, car les impôts en limitent la construction, fonder une famille devient mission impossible, et la dette nationale va leur retomber dessus, l'effondrement continu du pays ne laisse aucun espoir.
* Oui, la France est pire qu'un cauchemar, et ce n'est plus qu'une nation-zombie, toutes les valeurs sur lesquelles elle repose ont été détruites, la religion, la patrie, l'éducation, la langue, le travail.. le sentiment simplement d'appartenance à un État, alors que les musulmans ne se reconnaissent que dans une religion, les fêtes deviennent des lieux de violence, d'agressions, de vols, dans la rue les passants sont des étrangers, parlent une autre langue, même s'il n'y a pas de confrontation, il n'y a plus de sentiment communautaire. Des influenceurs étrangers l'ont dit, faisant scandale en notant la morosité, la distanciation dans les rues, mais ce n'est que la stricte vérité, comparable à la perte d'élan vital des peuples amérindiens après la conquête de l'Amérique. Aujourd'hui effondrement de la natalité, les paysans sont obligés de se contenter de faire de la nourriture bas de gamme pour les immigrés, la gastronomie qui est une spécificité française, est combattue par les fast-foods, et les kebabs. La bourgeoisie est laminée, et la paupérisation s'installe partout avec le low-cost à tous les niveaux, la mode se résume pour beaucoup à Shein (la France 1ᵉʳᵉ cliente de Shein en Europe), la gastronomie à McDonald (2ᵉ client mondial). Même Miss France est noire, alors que la femme française a une réputation mondiale d'élégance, et de gravure de mode; la propriété, droit fondamental, est niée par les squatters protégés par la loi et les juges.
* La liberté d'expression devrait être considérée comme un droit fondamental, mais il est fortement amoindri, détourné, sans être vraiment interdit, avec des vérités interdites comme celles concernant l'immigration, des opinions non exprimables qui ont valu la fermeture de C8, et son remplacement par une pseudo-chaîne de TV juste capable de faire du remplissage, sans la moindre opinion; des procès continuels contre les personnalités de droite, alors que LFI émet des opinions antisémites, antidémocratiques régulièrement.
* On parle de l'américanisation de la société, qui avance du fait de la déconstruction de la société française par l'islam, et du vide qui en résulte. L'islam se limite à la religion, il suffit de comparer la misère intellectuelle et la pauvreté culturelle du monde musulman depuis le Maroc jusqu'à l'Afghanistan, comparées à la richesse et à la diversité de l'Europe, en fonction des régions, des pays, des époques... L'Islam rejette la musique, avec limitation des arts figuratifs, et unification à un seul standard culturel, limité à la religion.
* Les Français natifs ont perdu jusqu’à leurs droits les plus élémentaires, l'impôt les spolie du fruit de leur travail, la propriété est contestée par les squatters, et les juges, aggravé par une multiplication des vols de voitures et cambriolages, et un trafic de drogue explosif, la sécurité n'est plus assurée et le seul fait de prendre un transport, ou de sortir le soir devient source de danger, avoir un logement correct même après une vie de travail est difficile, et loin d'apporter une assurance pour l'avenir, il n'apporte qu'un maximum d'impôts et de charges et met une cible fiscale sur le dos du propriétaire, en prime les Français natifs sont chassés loin des villes par l'insécurité, et les prix du logement, avoir des enfants est fortement limité de fait, la vérité est refusée avec l'interdiction de parler des statistiques raciales alors que c'est un problème essentiel, des attaques contre les médias et personnalités de droite, les enfants n'ont plus accès à une éducation de qualité réservée à une élite parisienne, la dégradation des droits et des possibilités des citoyens est générale, les hôpitaux se dégradent, le principale problème reste un fisc spoliateur qui porte atteinte à la liberté, la liste est infinie, et il est difficile de voir le positif, une atteinte décuplée par une politique de discrimination positive en faveur des immigrés.
* La France est un cauchemar, avec une fracture et une opposition totale entre les exactions subit et un effondrement de toutes les valeurs de la France, sans rien en contrepartie, pas même une réussite économique, mais un échec global, sans la moindre possibilité d'amélioration, avec en contre-point, des immigrés qui en travaillant un minimum, sans se former, sans même respecter la loi, obtiennent des logements, occupent les villes en chasse les kouffars, impose sa religion, utilise la démocratie même si elle l'a rejette, pour avancer ses pions, peut faire vivre toute la smala, tout en interdisant aux femmes de travailler, et vivre uniquement en fonction de leur mode de vie et de penser comme là-bas, mais avec le niveau de vie occidental, ce que le Français de souche n'arrive plus à avoir.
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