Les Allocations Familiales

Face à la pression fiscale très élevée, et aux charges lourdes, la répartition des allocations familiales est profondément injuste avec un problème de chute catastrophique de la natalité qui remet en question l'avenir de la France.

         Le président de la République Macron a déclaré que la baisse de natalité était liée à une baisse de la fécondité au niveau mondial, même s'il y a un fond de vérité, la baisse de natalité peut s'expliquer par de multiples raisons, la plus simple étant la faiblesse des allocations familiales en déconnexion complète avec les impôts.

         La France a la pression fiscale la plus élevée au monde,  mais contrairement à d'autres pays européens, comme l'Allemagne, les Français n'ont pas d'allocation pour le 1°enfant, alors que beaucoup de familles de natifs n'ont que 1 ou 2 enfants seulement, ce qui est une profonde injustice, avec une disproportion entre les impôts payés et le retour sous forme d'allocations familiales, comme avec toutes les aides sociales.

         Les fonctionnaires français bénéficient du  supplément familial de traitement (SFT), qui double leurs allocations familiales, dès le 1°enfant, en plus de leurs multiples avantages, dont l'emploi à vie, qui garantit la stabilité sociale, et reste un facteur essentiel pour fonder une famille, mais ceci représente une profonde injustice et même une double injustice pour les parents du privé qui accumulent à l'inverse toutes les contraintes.

         Pour les immigrés, les allocations familiales sont indépendantes des contraintes, et de l'obligation de travailler, avec une déconnexion entre travail et allocation, ce qui est profondément injuste, et une aide sociale maximale.  

          Étant donné la pression insupportable des impôts, la faiblesse des allocations familiales est profondément injuste, d'autant qu'elle se rajoute à de multiples déséquilibres qui limitent la possibilité de fonder une famille. Pour un minimum de justice, il faut revoir l'attribution des allocations familiales, ainsi que la répartition du montant des allocations pour être en proportion avec la charge fiscale pour une répartition équitable, d'autant que malgré la chute de la natalité on supprime les allocations des natifs qui ont le tort de se former et de travailler, l'homme comme la femme, alors qu'un immigré qui interdit à sa femme d'étudier et de travailler sera récompensé par des allocations maximales, et de même pourra profiter des crèches, même sans travailler, au détriment des travailleurs.
         La baisse de la natalité doit être pris comme un problème essentiel, la mise des allocations au niveau de celles des fonctionnaires ne serait que justice et équité dès le 1°enfant, alors qu'elles ne profitent qu'aux immigrés, et ne fait qu'amplifier l'hypernatalité islamique, une remise à plat des objectifs et des moyens devrait être posée. 

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